nom: AOBA
prénom: Asuka
age: 20 ans
profession: étudiante en droit à tokyo
race: ghoule
description physique:
Je suis de taille moyenne, corpulence fine mais robuste. J'ai les yeux verts en temps normal, sauf quand je retrouve ma nature de goule, et je porte des lunettes (plus par accommodation aux humains que réelle nécessité). Mes cheveux sont noirs, longs jusqu'à mi-épaule. J'aime porter des vêtements simples, sans pour autant être débraillée. Un minuscule pendentif ayant appartenu à ma mère ne quitte jamais mon cou. Mon Kagune, une fois réveillé, prend la forme d'une queue fournie de loup munie de mini tentacules qui se replient en spirale ou se déplient selon le besoin (Kagune de type Bikaku, à queue) , de couleur bleue-verte. Je porte lors de mes chasses un masque en forme de loup, ce qui fait que les quelques personnes à m'avoir aperçue m'appellent "la louve solitaire".
description psychologique:
Dans ma tête, il y a une forteresse. Je n'accorde ma confiance qu'aux gens qui le méritent. Et ils sont rares. Depuis la mort tragique de mes parents, je ne sais plus comment aimer. Je ne pleure jamais, ni ne ris aux éclats. Je n'aime pas me faire remarquer, du coup je ne chasse uniquement que pour me nourrir et ne pas mourir. La seule chose qui me motive dans la vie, c'est mon occupation d'observation des humains et la fac de droit. Je veux comprendre ces êtres qui cohabitent avec nous (mes parents me racontaient plein d'histoires sur les humains) et qui nous servent de nourriture. C'est aussi pour comprendre leurs lois que j'ai intégré la fac de droit.
histoire:
J'ai vécu une enfance heureuse, entourée de mes parents. Tous les autres membres de ma famille sont morts. Une nuit, une goule affamée nous a attaqués et mes parents se sont interposés au péril de leur vie et c'est devant leurs corps inertes que mon Kagune s'est réveillé et a détruit la goule inconnue. J'ai vécu un moment dans la rue, jusqu'à ce qu'un jour un homme âgé ne m'offre un foyer en échange de "nourriture". Il s'appelait Nishiki Nishio. Je vis toujours chez lui, rendant de temps en temps visite au mausolée que j'ai érigé dans son jardin, portant les noms de mes défunts géniteurs. Ils étaient tout ce que j'avais. Maintenant, je suis seule... Enfin, presque.